Le ridicule ne tue pas, alors allons-y (photo à l'appui) ! Il y a deux semaines (le dimanche 9 janvier donc), je me suis pris par la main (comment ça, m'a un peu forcé la main?) pour installer le lustre qu'on avait reçu à Noël pour notre cuisine.

Je fais de la place, je vais chercher la perceuse dans le garage, je décroche la lampe qui y était, je choisis une mèche que je pense adaptée (ah, je le retiens le parrain de , à me dire qu'on voit que c'est du faux-plafond !), et je tente une percée. Ça ne va pas bien. Ah oui : j'ai oublié de mettre la percussion. Ça va mieux, mais c'est pas ça : la mèche est toute rabotée. Argh. C'est du béton! Bien sûr : la dalle !

Bon, je (re)prends mon courage à deux mains, je mets une mèche adaptée, et je pousse ! J'y suis presque, il ne me manque plus qu'un ou deux millimètres pour que la vis entre en entier ! Allez ! Un dernier effort. Hum. Là, il faut dire que j'aurais dû relire le mode d'emploi, pour bien verrouiller la mèche (le mandrin? je ne connais pas bien le vocabulaire) : la mèche (on va l'appeler comme ça) reste coincée dans le plafond, sans la perceuse. Je relis le manuel, je reverrouille la mèche (paske, la sortir comme ça du plafond, ça marche pas), et hop !

Humpf ! Rhaan ! Rogntudjûûuu ! Rien à faire, ça ne vient pas. Ça tient même bien dans le plafond (si le but était de faire tenir quelquechose au plafond, c'est réussi, la preuve sur la photo).

Emmanuelle, faisant fi de mon amour-propre (paske je râle, et je dis que ça n'est pas très esthétique, mais que ça restera comme ça jusqu'à... je ne sais pas quand), appelle mon beau-frère adoré (que désormais j'appellerai , paske ça lui va bien, il aime bien plaisanter, et moi j'aime bien son humour). Ça tombe bien : il est disponible et (apparemment) disposé à nous aider. Un peu plus tard, il débarque avec du gros matériel (un perforateur, pour ma dalle), et on s'y met. Ben lui aussi (qui bricole depuis plus longtemps que moi), il a du mal (il a même failli laisser le perforateur planté dans la dalle ;). Après bien des sueurs jokériennes (je ne le remercierai jamais assez), et un peu d'aide de ma part (genre assistant, quoi), le lustre était accroché, et allumé (quoi? j'ai passé l'épisode de la châtaigne? pas grave, ça sera pour un autre billet).

Ouf !

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